La Rue Kétanou, c’est d’abord un slogan, une devise, un état d’esprit. “C’est pas nous qui sommes à la rue, c’est la Rue Kétanou”.
Un trio fantasque devenu, après avoir fêté leurs 20 ans, un quatuor avec l’arrivée de Pierre Luquet, leur enfant spirituel comme ils le disent…
Vingt ans d’cavale, de chansons festives, réalistes et engagées, de guitares, d’airs d’accordéon, d’harmonica et de percussions endiablées !
Vingt ans et La Rue Ketanou est toujours là, chansonniers et poètes, funambules acoustiques extravagants, suivis par un public toujours aussi nombreux.
Un public qui pourra les retrouver sur les routes de France avec leur album sorti en janvier 2020!
On y retrouve toujours deux guitares et maintenant deux accordéons depuis l’arrivée de Pierre Luquet. C’est aussi de nouveaux instruments découverts lors de leurs voyages…
Le charengo de Bolivie et le banjo des Appalaches (Peuple Migrant), la guitare de Titi Robin se rattachant aux confluences des cultures gitanes, orientales et européennes (Ne m’en veux pas), celle de René Lacaille teintée d’une culture créole unique de l’île de La Réunion dans l’océan Indien (Chikungunya), la mandole (Elle s’appelle) et le ney, flûte orientale (Gbaou Gbaou) de Rachid Benallaoua où l’on y retrouve en bouquet final un featuring avec Fredo Burguière (Les Ogres de Barback), Mouss et Hakim, Gari Greù (Massilia sound system) et le chant d’Eyo’nlé pays du Vaudoun.
Nicolas Quéré, réalisateur (Arctic Monkeys, Delgrès), s’est nourri de la liberté, la générosité et la sincérité du groupe pour produire un album plus mature restant tout aussi vivant.